Un producteur roumain de matériaux de construction augmente son activité de 23% dans le cadre d’une expansion régionale

Le groupe TeraPlast, le plus grand fabricant roumain de matériaux de construction, contrôlé par l’entrepreneur local Dorel Goia, a enregistré une augmentation de 23% de son activité au premier semestre de cette année par rapport à la même période de l’année dernière.

Son chiffre d’affaires a atteint 416 millions de RON (87 millions d’EUR) du fait de l’expansion régionale et du développement de son réseau de distribution et de son portefeuille de clients. Le bénéfice d’exploitation – L’EBITDA a augmenté de 26% par rapport à l’année précédente pour atteindre plus de 35 millions de RON (7,4 millions d’EUR).

«Les résultats des six premiers mois sont conformes à nos prévisions et soutiennent l’évolution à la hausse et la stratégie d’amélioration de la marge, esquissées depuis l’année dernière. En 2018, nous nous sommes concentrés sur la consolidation des nouvelles activités entrant dans le groupe. Cette année, nous visons une croissance soutenue en développant la présence régionale et en développant les capacités de production, dans le cadre d’un plan d’investissement ambitieux », a déclaré Ioana Birta, directrice financière du groupe TeraPlast.

Le groupe TeraPlast comprend le producteur de tubes et de profilés en PVC TeraPlast, le producteur de panneaux isolants TeraSteel Roumanie et Serbie, le producteur de tuiles Wetterbest (Depaco), ainsi que TeraGlass, TeraPlast Hongrie et TeraPlast Recycling.

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Stadler Rail signe un contrat de 248 millions d’euros avec la société polonaise PKP Intercity

Le fabricant de matériel ferroviaire Stadler Rail signe pour 270 millions de francs suisse (248 millions d’euros) avec PKP Intercity pour la livraison de 12 rames et leur maintenance pendant 15 ans. Elle s’ajoute aux 20 trains que la compagnie polonaise exploite déjà depuis 2015.

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La société anglo-néerlandaise Shell entre en Australie sur le marché de l’électricité avec un contrat de 418 millions de dollars

Royal Dutch Shell est entrée sur le marché australien de l’électricité avec un contrat de 418 millions de dollars pour l’acquisition d’ERM Power, fournisseur d’énergie pour les entreprises.

La société anglo-néerlandaise a pour ambition de concentrer ses activités sur le gaz et de devenir un acteur majeur dans les décennies à venir dans le cadre d’une campagne mondiale en faveur de carburants plus propres.

La présidente de Shell, Zoe Yujnovich, a déclaré que cet accord « cadre avec l’ambition mondiale de Shell de développer son activité énergétique intégrée et s’appuie sur les capacités existantes de Shell en Australie en matière de commercialisation et de négociation du gaz ».

Alors que Shell a annoncé son intention d’augmenter ses dépenses annuelles dans les secteurs de l’énergie et des énergies propres de 2 à 3 milliards de dollars d’ici 2025, ses divisions pétrolières et gazières traditionnelles domineront toujours.

Les majors de l’énergie cherchent à se réinventer ou à faire face à l’extinction dans un monde qui devrait s’éloigner des formes d’énergie plus polluantes au cours des prochaines décennies.

Shell veut devenir le plus grand fournisseur d’électricité au monde et considère l’électricité comme un débouché pour son gaz. Mais il a souligné qu’il ne se développerait fortement dans cet espace que s’il pouvait générer des marges de 8 à 12%.

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MAN Energy Solutions construit deux centrales de cogénération en Allemagne

MAN Energy Solutions construira deux centrales de cogénération dans la ville de Chemnitz pour le prestataire de services énergétiques Eins Energie in Sachsen. Les deux centrales, MHKW Nord et Altchemnitz, seront exploitées avec sept et cinq moteurs à gaz MAN.

MAN Energy Solutions est le principal fournisseur de centrales électriques à moteur à gaz en Allemagne et se consacre depuis de nombreuses années à la mise en place de systèmes de production combinée de chaleur et d’électricité à gros moteurs. En 2018, l’entreprise a mis en service des centrales électriques à Stuttgart-Gaisburg et dans la ville de Schwäbisch Hall.

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Les Pays-Bas achètent 18 TGV à Alstom

Les Pays-Bas achètent pour un prix de 200 millions d’euros les 18 TGV. Le carnet de commandes d’Alstom dépasse les 40 milliards d’euros avec du travail sur au moins 10 ans. La société de chemin de fer hollandaise NS avait déjà fait appel aux services d’Alstom en 2016 pour 79 trains. La conception et la fabrication du moteur ont été confiées au site d’Ornans (Doubs)

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Le constructeur automobile Roumain Dacia pourrait lancer une SUV hybride

Le constructeur roumain Dacia devrait lancer prochainement un modèle de VUS hybride pour atteindre l’objectif moyen de réduction des émissions de CO2.

L’année dernière, l’Union européenne a décidé d’objectifs futurs en matière d’émissions de CO2 pour 2020, tous les constructeurs automobiles doivent respecter une moyenne d’émissions de CO2 de 95 grammes par kilomètre. Les analystes affirment que le montant de l’amende pour le groupe Renault s’élèverait à environ 450 millions d’euros. Dacia est actuellement l’un des constructeurs qui auront du mal à atteindre ses objectifs.

Dans ce contexte, Dacia pourrait lancer un SUV hybride qui permettra d’abaisser la moyenne des émissions, selon des sources proches. L’option la plus pratique serait l’électrification de la Dacia Duster.

Arndt Ellinghorst, analyste chez Evercore ISI à Londres, estime que le respect des objectifs d’émission fixés pour les deux prochaines années coûtera à Dacia quelque 671 millions d’euros, soit 1 269 euros par unité, sans grande marge de manœuvre pour répercuter ces coûts sur ses clients attentifs aux prix.

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LE TAUX DE CHÔMAGE EN POLOGNE CONTINUE DE BAISSER

Le taux de chômage en Pologne est à 5,2% de la population active pour le mois de juillet. Il s’élevait à 5,3% en juin et 5,4% en juillet. Par rapport au mois de juin, le nombre d’offres d’emplois a augmenté de 15%. Face aux faibles taux de chômage, la Pologne a besoin de main d’œuvres. Le gouvernement polonais a donc pris des mesures en exonérant les moins de 26 ans de l’impôt sur le revenu.

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Comprendre l’avenir que se sont choisi les PECO en 23 cartes

Avenir PECO

Comprendre l’avenir que se sont choisi les PECO en 23 cartes

Un modèle mis à mal
La chute du mur de Berlin en 1989,
symbole de l’effondrement du
communisme, avait provoqué un nouvel
engouement réciproque entre l’Europe
de l’Ouest et de l’Est, séparées pendant
un demi-siècle.
Les PECO (Pays d’Europe de Centrale
et Orientale) ressentaient une vraie soif
d’apprendre de nos modèles
occidentaux et envie de les transposer
chez eux.
Il y a 20 ans, la France était considérée
comme un exemple dans les « pays de
l’Est ». Aujourd’hui, l’évocation de notre
pays provoque souvent un sourire
narquois ou une mine désolée, et notre
modèle se trouve même parfois
considéré comme le pire des
repoussoirs.
L’Europe divisée
Entre temps, est notamment arrivée la
crise des migrants en 2015, que le
politologue bulgare Ivan Krastev qualifie
de « 11 Septembre de l’Europe ».
Elle a provoqué une véritable division
entre l’Est et l’Ouest de l’UE. L’Est
reprochant à l’Ouest de lui imposer non
seulement sa politique migratoire mais
également, et peut-être surtout, un
discours officiel qui rappelle, à certains
égards, bien trop les techniques de la
propagande communiste.
Ce discours est celui du
multiculturalisme heureux, du pur
enrichissement, excommuniant ceux qui
émettent des doutes.
Les élites de l’Ouest, ont développé une
Août 2019
forte hostilité pour leurs homologues de
l’Est qui, selon ces premiers, trahiraient
les valeurs européennes. On ne compte
plus les éléments de langage
outranciers à leurs égards :
« démocrature, régime autoritaire,
national-conservateur, nationalcatholique,
ultra-catholique,
ultraconservateur,
dirigeants
fous,
etc..
».
Une méfiance s’est donc installée,
doublée des craintes de certains
dirigeants de l’Est de voir l’histoire se
répéter.
Le Brexit, la France devenue le supplétif
d’une Allemagne hégémonique, s’alliant
avec la Russie au niveau énergétique,
inquiète.
Un peu d’Histoire
Pour comprendre les PECO, il faut bien
sûr se rappeler qu’ils ont connu 60 ans
de totalitarisme (nazi puis soviétique),
mais surtout comprendre que, pour
nombre d’habitants, ces idéologies ne
sont pas désincarnées et singulières
mais bien le fruit des nationalismes
allemands et russes.
Si l’on additionne les occupations
impériales et les totalitarismes divers,
cette région aura connu environ 200 ans
de brutalités germano-russes.
On peut ainsi aisément comprendre,
qu’avec une UE sous hégémonie
allemande et une Russie qui n’a pas
abandonné ses ambitions impériales, les
PECO préfèrent se prémunir de tout
risque en se plaçant sous le parapluie
américain.

Un modèle mis à mal
La chute du mur de Berlin en 1989,
symbole de l’effondrement du
communisme, avait provoqué un nouvel
engouement réciproque entre l’Europe
de l’Ouest et de l’Est, séparées pendant
un demi-siècle.
Les PECO (Pays d’Europe de Centrale
et Orientale) ressentaient une vraie soif
d’apprendre de nos modèles
occidentaux et envie de les transposer
chez eux.
Il y a 20 ans, la France était considérée
comme un exemple dans les « pays de
l’Est ». Aujourd’hui, l’évocation de notre
pays provoque souvent un sourire
narquois ou une mine désolée, et notre
modèle se trouve même parfois
considéré comme le pire des
repoussoirs.
L’Europe divisée
Entre temps, est notamment arrivée la
crise des migrants en 2015, que le
politologue bulgare Ivan Krastev qualifie
de « 11 Septembre de l’Europe ».
Elle a provoqué une véritable division
entre l’Est et l’Ouest de l’UE. L’Est
reprochant à l’Ouest de lui imposer non
seulement sa politique migratoire mais
également, et peut-être surtout, un
discours officiel qui rappelle, à certains
égards, bien trop les techniques de la
propagande communiste.
Ce discours est celui du
multiculturalisme heureux, du pur
enrichissement, excommuniant ceux qui
émettent des doutes.
Les élites de l’Ouest, ont développé une
Août 2019
forte hostilité pour leurs homologues de
l’Est qui, selon ces premiers, trahiraient
les valeurs européennes. On ne compte
plus les éléments de langage
outranciers à leurs égards :
« démocrature, régime autoritaire,
national-conservateur, nationalcatholique,
ultra-catholique,
ultraconservateur,
dirigeants
fous,
etc..
».
Une méfiance s’est donc installée,
doublée des craintes de certains
dirigeants de l’Est de voir l’histoire se
répéter.
Le Brexit, la France devenue le supplétif
d’une Allemagne hégémonique, s’alliant
avec la Russie au niveau énergétique,
inquiète.
Un peu d’Histoire
Pour comprendre les PECO, il faut bien
sûr se rappeler qu’ils ont connu 60 ans
de totalitarisme (nazi puis soviétique),
mais surtout comprendre que, pour
nombre d’habitants, ces idéologies ne
sont pas désincarnées et singulières
mais bien le fruit des nationalismes
allemands et russes.
Si l’on additionne les occupations
impériales et les totalitarismes divers,
cette région aura connu environ 200 ans
de brutalités germano-russes.
On peut ainsi aisément comprendre,
qu’avec une UE sous hégémonie
allemande et une Russie qui n’a pas
abandonné ses ambitions impériales, les
PECO préfèrent se prémunir de tout
risque en se plaçant sous le parapluie
américain.

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Ryanair s’installe en Pologne pour la formation de ses pilotes

La compagnie aérienne low cost Ryanair s’est alliée à l’école de pilotage Bartolini Air, basée en Pologne, avec pour objectif de former plus de 300 pilotes européens en quatre ans.

Ce nouveau programme de formation intensive de 18 mois offre aux pilotes un parcours structuré leur permettant d’obtenir leur licence et « d’atteindre un niveau » qui leur permettra de rejoindre le programme de qualification du Boeing 737 de Ryanair. Les apprentis pilotes du programme seront formés par les instructeurs de Bartolini Air selon les procédures de Ryanair.

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La première antenne 5G mise en service en Bulgarie

Un des opérateurs mobiles bulgare a mis en service la première station de base 5G. Cette antenne relais fonctionnera en test jusqu’à la fin de l’année sur des fréquences comprises entre 3440 et 3540 MHz.

Le nouveau réseau 5G offrira un accès internet mobile à très haut débit. le président de la Commission de régulation des communications Ivan Dimitrov a salué toutes les mesures permettant aux utilisateurs d’avoir accès aux dernières technologies et encourage les investissements ainsi que la concurrence. La Bulgarie est désormais le 50e pays dans le monde à faire des tests sur la 5G.

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