Ericsson a finalisé l’acquisition de la division Antennes et filtres de Kathrein, l’un des principaux fournisseurs mondiaux de technologies d’antennes et de filtres, dont le siège social est à Rosenheim, en Allemagne. La clôture fait suite à l’annonce, le 25 février 2019, de l’intention d’Ericsson d’acquérir les activités de Kathrein dans le domaine des antennes et des filtres.

Ericsson se réjouit d’offrir à ses clients une offre élargie de systèmes radio Ericsson. En plus d’élargir le portefeuille de produits d’antennes et de filtres d’Ericsson, l’acquisition apportera les compétences essentielles nécessaires pour faire évoluer les produits d’accès radio.

Fredrik Jejdling, Vice-président exécutif et responsable du secteur d’activité Réseaux, Ericsson, déclare : « Bienvenue à nos nouveaux collègues. Nous sommes confiants qu’ensemble, nous ferons évoluer nos produits radio dont les clients ont besoin pour la 5G et au-delà. »

Le groupe hôtelier Radisson a conclu un accord avec l’investisseur hôtelier polonais Europlan pour une nouvelle station balnéaire Radisson Blu en Pologne.

Situé à Mazury Lakes, le Radisson Blu Resort, Ostroda Mazury Lakes offre sa propre marina et son parc aquatique. Cette nouvelle propriété porte le portefeuille du groupe en Pologne à 19 propriétés réparties en cinq marques. L’hôtel ouvrira ses portes au troisième trimestre de 2020 et comptera 240 chambres et suites, ainsi qu’un bar et un restaurant pour toute la journée.

Le Radisson Blu Resort se concentrera sur les activités de réunions, de conférences et d’expositions et offrira 2 600 mètres carrés d’espace répartis dans une salle de bal, quatre salles de réception, sept salles de réunion et un espace séparé qui pourra servir de foyer ou d’espace de réception.

Watson Farley & Williams a conseillé un consortium composé du Groupe Renault, du Fonds de Modernisation Écologique des Transports géré par Demeter, de l’agrégateur allemand, de The Mobility House et de Mitsui & Co sur la structuration et la mise en place d’un projet commun en Allemagne spécialisé dans les systèmes fixes de stockage d’énergie par batteries pour véhicules électriques.

Cet investissement s’inscrit dans le cadre du projet « Advanced Battery Storage », le plus grand système de stockage d’électricité stationnaire utilisant des batteries de véhicules électriques – visant à développer une puissance installée de 20 MW – en Allemagne, après un premier projet de 45 MW en France. Les batteries du projet seront fournies par le Groupe Renault avec la capacité de stockage qui sera vendue par The Mobility House pour répondre à la fois aux besoins de services réseau et de stockage industriel.

Le groupe allemand Siemens occupera environ 4 000 m² d’espace dans le parc logistique MLP Wrocław en Basse-Silésie. Le locataire produira des armoires de commande haut de gamme sur le site et emploiera jusqu’à 150 personnes dans l’usine. Le fait qu’un investisseur aussi important décide d’ouvrir un site de production en Pologne prouve la force et le potentiel du marché immobilier polonais. « Nous sommes très heureux d’établir une coopération avec une entreprise aussi réputée. Le centre logistique MLP Wrocław est parfaitement situé et permet un service rapide pour les clients du marché polonais. » a déclaré Agnieszka Góźdź,  directrice du département des ventes de MLP Group SA.

Un projet de fusion avec Thalys, qui exploite des services ferroviaires à grande vitesse dans toute l’Europe occidentale, pourrait permettre de relier Londres à certaines villes allemandes.

Ces projets ambitieux, connus sous le nom de « Green Speed Project », sont soutenus par la SNCF et la Compagnie nationale des chemins de fer de Belgique, qui détiennent à elles deux une participation majoritaire dans Eurostar et Thalys.

Le projet de fusion permettrait également d’offrir « des services transparents et efficaces avec un seul billet entre les pays et les villes sur les réseaux Thalys et Eurostar », offrant ainsi une alternative au transport aérien.

Les deux services à grande vitesse partagent déjà des voies sur certaines parties de leurs réseaux qui se chevauchent, ce qui signifie qu’une fusion n’exigerait pas de modifications importantes aux trains. La fusion nécessitera l’approbation de la Commission européenne.