La Commission européenne a estimé que l’aide accordée par la Pologne à l’entreprise chimique LG Chem pour une nouvelle usine de batteries de véhicules électriques dans la Voïvodie de Basse-Silésie, d’un montant de 36 millions €, était conforme aux règles de l’UE en matière d’aides d’État. L’aide contribuera au développement de la région tout en préservant la concurrence.

Cette aide à l’investissement accordée par la Pologne soutiendra l’investissement de 325 millions d’euros de LG Chem dans une nouvelle usine de production de batteries lithium-ion (Li-ion). Les batteries Li-ion sont utilisées dans les véhicules électriques et la nouvelle usine devrait fournir des batteries pour plus de 80 000 véhicules électriques par an dans l’Espace économique européen (EEE).

Malgré le ralentissement de l’économie mondiale, les entreprises allemandes continuent de recruter des employés. Les 30 plus importantes entreprises de l’indice boursier allemand DAX recherchent actuellement 20 000 travailleurs en Allemagne, dont 3 000 uniquement chez Volkswagen.

La plupart des 9 000 entreprises interrogées par l’institut économique IFO envisagent de continuer à augmenter leurs effectifs. Ce boom est confirmé par une autre enquête réalisée par le cabinet de conseil EY auprès de 1 500 entreprises. Il en ressort que 38% envisagent d’augmenter leurs effectifs en Allemagne au cours des six prochains mois. C’est le pourcentage le plus élevé depuis le lancement de l’enquête en 2004. Seules 3% des entreprises envisagent de supprimer des emplois.

Plus de la moitié des entreprises du Mittelstand considèrent actuellement que la difficulté de trouver suffisamment de travailleurs qualifiés constitue le principal risque pour leur entreprise. «Le manque de main-d’œuvre qualifiée préoccupe beaucoup plus les entreprises que le risque d’un ralentissement conjoncturel», a déclaré Michael Marbler, expert chez EY.

Le fond européen d’investissement (FEI) et la banque de développement croate HBOR vont lancer un programme d’investissement en fond propre de 70 millions d’euros visant à soutenir les PME et les entreprises à moyenne capitalisation boursière à forte croissance.

Le FEI et HBOR engageront chacun 35 millions d’euros, pour porter le capital alloué au programme à 70 millions d’euros, une somme qui devrait catalyser des investissements supplémentaires du secteur privé.

L’objectif de ce programme est surtout d’améliorer l’accès au financement des PME en soutenant le développement de l’écosystème entrepreneurial croate.

Avec un total d’actifs sous gestion de 172 milliards d’euros, les entreprises Achmea Investment Management, Blue Sky Group et SPF Beheer ont toutes trois établi entre elles une plateforme commune de co-investissement en capital privé.

Blue Sky Group gère 22 milliards d’euros pour trois projets parrainés par la compagnie aérienne néerlandaise KLM. SPF Beheer gère 20 milliards d’euros pour le compte, entre autres clients, du régime ferroviaire SPF ainsi que le fonds de pension des transports publics SPOV. Achmea IM, avec 130 milliards d’euros sous gestion, gère le bilan du groupe d’assurance hollandais Achmea et est également le conseiller fiduciaire d’une trentaine de fonds de pension indépendants.

Ces 3 entreprises néerlandaises ont environ 3 à 5% de leurs actifs sous gestion en capital privé, principalement en fonds communs. Par la création de cette plateforme commune de co-investissement,  celles-ci visent à réduire de moitié les coûts et à accéder à des accords de co-investissement.

Ainsi, chacune des trois parties décidera annuellement combien ils voudront investir et apporteront ensuite cet argent pour un co-investissement lequel se fera de manière non pas directe mais réfléchie, en faisant appel en amont à des gestionnaires possédant des connaissances et une spécialisation approfondies dans le domaine du dît investissement.

Le Premier ministre ukrainien, Volodymyr Groysman, a déclaré que son pays comptait attirer 1,5 milliard de dollars d’investissements de la Norvège. Il a annoncé que les entrepreneurs ukrainiens et norvégiens ont signé des contrats préliminaires aux termes desquels les entreprises norvégiennes investiraient dans les secteurs de l’énergie, de l’agriculture, des technologies de l’information et de l’automobile, et le tout en Ukraine.

En vertu de ces contrats, environ 800 millions de dollars seront investis dans les énergies renouvelables en Ukraine, y compris dans les secteurs des énergies éolienne, solaire et hydraulique.

L’année dernière, les échanges commerciaux entre les deux pays ont augmentés de 8.1% pour atteindre plus de 255 millions de dollars US.